La parure
Siužetinės Linijos Tekstas
- De moi...Comment ça?
- Oh !... ma pauvre Mathilde, comme tu es changée !...
- Mais... madame !... Je ne sais... Vous devez vous tromper.
- Bonjour,Jeanne
- Non. Je suis Mathilde Loisel.
- Oui, j’ai eu des jours bien durs, depuis que je ne t’ai vue ; et bien des misères... et cela à cause de toi !...
- Or, un dimanche, comme elle était allée faire un tour aux Champs-Élysées pour se délasser des besognes de la semaine.
- Tu dis que tu as acheté une rivière de diamants pour remplacer la mienne ?
- Oui. Tu ne t’en étais pas aperçue, hein ? Elles étaient bien pareilles.
- elle aperçut tout à coup une femme qui promenait un enfant. C’était Mme Forestier.Mme Loisel se sentit émue...elle s'approcha.
- Oh ! Ma pauvre Mathilde ! Mais la mienne était fausse. Elle valait au plus cinq cents francs !...»
- L’autre ne la reconnaissait point, s’étonnant d’être appelée ainsi familièrement par cette bourgeoise. Elle balbutia :Son amie poussa un crie:
- Mme Loisel souriant d'une joie orgueilleuse et naive lui raconta tout ce qui s'est passé avec la parure et Mme Forestier répond:
- Mme Forestier, fort émue, lui prit les deux mains et lui dit:
- Mme Loisel
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